La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis DEvans (Épisode N°1183)
La jeunesse dEdouard dEvans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode 1178) -
Tandis que chienne Joëlle était entraînée vers le milieu de la pièce... Immobilisé sur la croix de Saint-André, j'étais cependant aux premières loges pour voir la façon dont l'esclave Joëlle se comportait avec les trois étalons, manifestement très inspirés par cette chienne si parfaitement dressée par le Maître, Monsieur le Marquis d'Evans... En la voyant, je compris tous les progrès que j'aurais à faire si je voulais pouvoir un jour être vraiment un bon esclave... sans jamais se départir d'une attitude humble, chienne Joëlle se révélait être une fabuleuse experte à donner du plaisir, et pour cela elle a été très bien formée, initiée, dressée, formatée aux moindres exigences du Noble et ainsi répondre à Ses ordres dans un seul et unique but, Le satisfaire. Ainsi je ressentais et comprenais cette évidence flagrante qui respirait dans le regard empli de dévotion totale de cette belle soumise, lévidence quelle ne vivait uniquement pour Lui obéir tout en ayant linfime honneur de rester à Ses pieds, cétait là, Sa seule et unique raison de vivre, dêtre ce quelle était
Oui javais encore beaucoup à apprendre delle et je lenviais à la voir si heureuse de son état servile
Accroupie au centre de la pièce, pile face au caméscope VHS, chienne Joëlle se tenait en équilibre sur la pointe des pieds, les cuisses largement ouvertes, ses genoux écartés au maximum exhibant ainsi son sexe glabre dun rosé délicieux, aux lèvres intimes généreuses gorgées de désirs, humide à souhait, une chatte qui suintait de cyprine ... Tandis qu'elle branlait une grosse queue avec chaque mains, la volumineuse verge du troisième étalon allait et venait profondément dans sa gorge... Et esclave Joëlle s'occupait manifestement à merveille des trois mâles en rut ! Au bout dun très long moment et en laissant échapper un râle guttural, celui qu'elle suçait fut le premier à jouir, saisissant fermement la nuque de la femelle afin de la contraindre à ne rien perdre du flot de semence que j'imaginais particulièrement abondant.
Pas un instant, chienne Joëlle ne cessa de branler les deux autres étalons dont les grosses bites veineuses étaient désormais monstrueusement tendus et rouges, au gland violacé... Tandis que l'un restait en place, l'autre vint à son tour se placer face à la belle Joëlle et enfonça sa verge énorme entre ses lèvres, sans ménagement, commençant un violent va-et-vient dans sa bouche ainsi besognée comme un vulgaire trou à plaisir, tout en lui tirant, par le haut, les cheveux de sa queue de cheval... Tandis que ses deux compères s'activaient, le premier étalon à avoir joui s'approcha de moi... Il ne dit rien, vint juste se placer face à moi et d'une main puissante, me força à ouvrir la bouche afin d'y cracher un épais mollard glaireux... Puis il me saisit un téton et le tordit cruellement, jusqu'à me faire gémir, avant de me délaisser pour rejoindre ses camarades râlant de plaisirs jouissifs alors quils venaient déjaculer au même instant, l'un dans la gorge de chienne Joëlle, l'autre sur son visage et cheveux, visage qui dégoulinait maintenant d'une crème virile épaisse...
Les étalons forçaient maintenant esclave Joëlle à se relever, lui faisant prendre des poses impudiques devant le caméscope VHS que maniait Le Maître... La soumise se prêtait docilement au jeu, comme si elle évoluait dans une autre dimension, elle était à la fois abandonnée et concentrée, laissant les trois mâles pervers manipuler son corps, écarter ses cuisses, pétrir ses seins, se laissant aussi fouiller de doigts inquisiteurs dans sa chatte trempée mais également retourner afin d'exhiber sa croupe et d'écarter son anus en y introduisant dabord un doigt gluant de gel lubrifiant
puis deux
trois
puis quatre
Quelle ne fut pas ma surprise quand je vis quun par un, les doigts entraient dans son cul écartelé pour quau final un poing entier et lubrifié fut introduit par un phénoménal fist anal !
Chienne Joëlle gémissait à peine, mais son regard en extase semblait la comblée étant si bien remplie du cul
Et même elle n'était pas que passive, tout en étant totalement manipulable et en se laissant aller à lextase de cette saillie hors norme, elle savait montrer sa totale implication dans ce qu'elle subissait, sachant opportunément se saisir d'une queue pour la branler, elle avait été formée aussi pour ça.
Tour à tour, chacun des mâles en rut se saisissait de la femelle esclave de plus en plus dépravée et la possédait sans ménagement, à chaque fois dans une position différente, acrobatique, impudique, dégradante pour l'esclave Joëlle qui semblait comme envoûtée des plaisirs lubriques démultipliés. Et elle cambrait ou courbait en tous sens son corps luisant de sueur, collant de sperme... Elle était à la fois danseuse et marionnette, belle racée et chienne en chaleur, déesse et putain dévergondée, magnifique poupée et pantin manipulé... Son corps subissait tous les assauts, mais tout en étant possédée, besognée, pénétrée, enculée, elle savait sembler à chaque instant, prête à aller encore plus loin. Son corps en feu était comme une liane que six mains puissantes faisaient plier en tous sens. Sa bouche était devenue une grotte humide et accueillante jamais rassasiée des épaisses giclées de sperme qui l'emplissaient par saccades... Sa chatte de cochonne mille fois conquise, devenue un vide-couilles à répétition, son cul de grosse truie, un large trou béant doù sécoulait les semences des mâles insatiables
Chienne Joëlle était maintenant sur le dos allongée sur le sol, les bras et jambes tendus en étoile, bien écartelée ... Son corps englué de foutre frémissait de tant de sensations... Les trois étalons, debout autour d'elle la toisaient et je demeurais fasciné par leurs verges encore tendues, encore dressées, manifestement encore prêtes à faire leur office.
J'en avais oublié les trois étalons qui soudain se remirent en action après avoir visiblement soufflé un bon coup. Le plus grand d'entre eux saisit assez brutalement les cheveux de chienne Joëlle et força l'esclave à se relever. Elle était pantelant mais le mâle n'en avait cure, La tenant face à lui, il lui asséna une belle paire de gifles, puis tendit la main pour que l'esclave femelle la lèche avec dévotion. Les deux autres étalons amenaient une sorte de cheval d'arçon sur laquelle esclave Joëlle fut contrainte de se pencher. On lia alors ses poignets alors que sa croupe était placée bien face au caméscope... Commença alors une première série de claques appliquées à la main, de véritables et puissantes fessées. Anodin ? Pas vraiment lorsque l'on voyait la largeur et la force des mains des trois mâles qui se succédaient afin de fesser ainsi le cul de l'esclave qui rougissait à vue d'il ! Chienne Joëlle ne bougeait pas, mis à part un soubresaut lorsque les mains s'abattaient violemment sur ses fesses et elle demeurait silencieuse, comme elle avait appris.
J'étais impressionné, car la belle soumise subissait presque en silence. J'imaginais combien j'aurai hurlé si j'avais du subir le même traitement. Et la peur m'envahit, j'étais désormais comme chienne Joëlle, un esclave de Monsieur le Marquis Edouard dEvans, et ce que subissait cette femelle servile, je devrai sans aucun doute apprendre à le subir aussi... J'en tremblais et oubliais tout le reste, malgré ma position si inconfortable et la morsure des pinces qui irradiait mon corps nu... Lorsque le cul et les cuisses de l'esclave femelle furent le plus sévèrement marquées, presque à sang, ses poignets furent libérés et esclave Joëlle dut se relever. Elle tremblait et avait perdu toute forme de dignité telle qu'elle en avait montré même dans les positions les plus dégradantes. Je la sentais pitoyable, craintive mais en même temps si heureuse, si comblée, si épanouie de vivre pleinement sa soumission devant mes yeux effarés. Si grande son expérience qu'elle semblait avoir de sa condition d'esclave et de jouet sexuel des exigences perverses des Dominants qui géraient désormais nos insignifiantes existences... Le plus fort des trois étalons la maintenait d'une main négligente et la mena plus près du caméscope, il saisit ses cheveux et la força à regarder droit dans l'objectif.
Puis il recula lentement, entraînant l'esclave femelle réduite à la plus servile docilité, révélant à nouveau tout son corps dans sa tremblante nudité. Maintenant appuyée le dos au cheval d'arçon, les mains tirées dans le dos et attachées, chienne Joëlle recevait une série de pinces partout sur le corps... sa langue, ses tétons étaient ainsi décorés, chaque pince ornée d'un petit grelot devant demeurer parfaitement immobile, car à chaque tintement elle était giflée afin dobtenir une parfaite immobilité. De nouvelles pinces furent installées partout sur son corps, en séries sur le ventre, l'intérieur des cuisses... puis, un gode-vibrant électrique lui fut enfoncé profondément dans sa chatte trempée. Cette fois c'est le Maître en personne qui tenait la petite télécommande permettant de faire fonctionner le gode et d'en régler la vitesse... Monsieur le Marquis jouait ainsi avec les sens de Sa chose servile et si les grelots tintaient, il accélérait encore le rythme. Chienne Joëlle haletait de plaisir et de douleurs mêlées, ses pulsions masochistes de femelle en exergue. Je voyais qu'elle perdait pied face à un tel flot de sensations et j'admirais son abnégation d'esclave et la vénération qu'elle montrait ainsi envers le Maître dont nous étions les propriétés absolues...
(A suivre
)
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